Captorix: el nuevo antidepresivo Houellebecq...

Los primeros antidepresivos conocidos (Seroplex, Prozac) aumentaban los niveles de serotonina en sangre inhibiendo su recaptación por las neuronas 5-HT1. El descubrimiento, a principios de 2017, del Capton D-L abriría la via a una nueva generación  de antidepresivos, con un mecanismo de acción finalmente más simple, ya que se trataba de favorecer la liberación por exocitosis de la serotonina producida al nivel de la mucosa gastrointestinal. A finales de año se comercializó el Capton D-L con el nombre de Captorix. Demostró de inmediato una eficacia sorprendente que permitía a los pacientes integrar con una facilidad inédita los ritos mas importantes de una vida normal dentro de una sociedad evolucionada (higiene, vida social reducida a la buena vecindad, trámites administrativos sencillos) sin favorecer en modo alguno, a diferencia de los antidepresivos de la generación anterior, las tendencias suicidas o de automutilación.

Los efectos secundarios indeseables observados con mayor frecuencia con Captorix eran las náuseas, la desaparición de la libido, la impotencia.

Yo nunca había sufrido náuseas.

 

Captorix... pour recapture ?

Les antidépresseurs de loin les plus prescrits appartiennent aux classes des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) et des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSNa).

A la différence du Captorix, ces antidépresseurs, ont « peu d'efficacité globale » et des effets indésirables considérables, estimait la revue Prescrire en septembre 2018.

Ils « "exposent à l'installation d'une dépendance : l'arrêt du médicament provoque un sevrage pénible, qui conduit beaucoup de personnes à continuer le médicament alors qu'elles ne sont pas ou plus malades. C'est un des facteurs de la surmédicamentation de la vie" », peut-on lire.

« "L'effet des médicaments commercialisés comme antidépresseurs est souvent attribué à leur action sur certains neurotransmetteurs comme la sérotonine et la noradrénaline. En pratique, on n'observe guère de corrélation entre mécanismes d'action supposés et efficacité clinique" », ajoute la revue. « "Mais on constate que les profils d'effets indésirables et d'interactions médicamenteuses diffèrent en partie en fonction de ces mécanismes d'action supposés" ». (Sur Psychomédia : Antidépresseurs : la théorie sur les faibles niveaux de sérotonine est dépassée selon des chercheurs)

Les antidépresseurs sont généralement reconnus comme étant plus efficaces pour les dépressions sévères que pour les dépressions légères à modérées. (Más)

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Citario/Ella dijo que...: Elisabeth Roudinesco*