«Je suis soulagée que la pression de l'opinion publique ait
mis fin à cette outrageuse tentative d'enrichissement. Nous payons tous, avec
le prix des médicaments, les salaires abusifs de Vasella et consort. La
discussion ne s'arrête par là: il faut l'initiative «1:12 - pour des salaires
équitables»* pour éviter que les salaires des managers des entreprises
pharmaceutiques et d'autres branches n'atteignent des niveaux incommensurables.
Et il faut un salaire minimal pour permettre aux plus mal payés de vivre de
leur revenu».
Regula Rytz, vice-présidente des Verts
«Renoncer à l'argent ou vouloir en faire don ne change rien
au fait que beaucoup de porcelaine a été cassée. Que des montants aussi énormes
puissent être accordés au détriment d'une entreprise montre la nécessité d'agir
dans le domaine. Le contre-projet (à l'initiative Minder) reste à ce stade le
bon moyen de mettre fin à l'avenir aux agissements d'un Vasella».
Philipp Müller, président du PLR
«C'est un premier succès pour l'initiative de Thomas Minder.
Ce cas montre que le problème ne se limite pas à Vasella, mais que nous avons
affaire à un cartel de gens qui se partagent les postes importants. Il s'agit
de casser ce cartel, et ce n'est possible qu'en disant 'oui' à l'initiative
contre les salaires abusifs».
Christian Levrat, président du PS
“Paying fair compensation for services is OK. However, this
is a compensation for which Daniel Vasella has to do nothing.”
Birgit Kulhoff, fund manager with Rahn&Bodmer/Zurich
“This
help-yourself culture undermines confidence in the whole economy,”
Simonetta Sommaruga, Switzerland’s federal justice and
police minister.
“The whole thing was organized in secret,”
“It’s a violation of the shareholder law and i think it’s also a violation of
criminal law.”
Ver también:
Novartis boss Vasella exits amid controversy
(*)1:12 - Pour des salaires équitables. Iniciative populaire
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